Ailleurs sur Paris-Treizieme
L'inondation de la Bièvre
La Bièvre, pendant l'orage de mercredi, s'est mise en colère ; terrible colère, dont nous avons déjà signalé hier les principaux effets, et dont je suis allé voir les traces avant qu'elles ne fussent effacées. (1901)
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Tentative d'émeute cette nuit rue Nationale - 1er mai 1934
Des incidents très graves qui ont rapidement pris le caractère d'une véritable émeute, se sont produits tard dans la soirée rue Nationale, dans le XIIIè arrondissement.
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Arsène Lupin à l’Eden des Gobelins
A l'Éden des Gobelins, l'entr'acte passe en grande vedette, vers 10 h. 20. (1933)
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A l'hôpital de la Pitié un fou cherche à tuer un surveillant de nuit
Une effrayante tragédie s'est déroulée, dans la nuit d'hier, à l'hôpital de la Pitié. Frappé subitement de folie furieuse, un malade en traitement dans la salle Piorry, Charles-Albert Baxloy, âgé de trente ans, habitant 10, rue Dunois, dans le treizième arrondissement, a tenté de tuer un veilleur de nuit, M. Julien Mercier, âgé de quarante ans.
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Les on-dit
Mais je vous jure que je n'ai jamais mis les pieds aux Gobelins, Comme tout vrai Parisien, je connais mal Paris. Je serais aussi dépaysé aux Gobelins que dans l'Arkansas. (1904)
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Sombre histoire de charbon
Il n'est question dans le quartier Croulebarbe (XIII* arrondissement), que d'une histoire de détournement de charbon, dont ce qu'on en a pu savoir, suffit à faire le mystère dont on l'entoure volontairement.
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Élection de la reine de l'Association artistique du treizième arrondissement
Cinq cents personnes environ assistaient, hier soir, à l'Eden des Gobelins, à l'élection de la reine de l'Association Artistique du treizième arrondissement. (1911)
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Les fureurs d'un alcoolique
Frédéric G… âgé de quarante ans, peintre en bâtiments, demeurant avenue des Gobelins, est un fervent adepte de l'absinthe.
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Une visite à la Manufacture des Gobelins
Nous avons visité les Gobelins à onze heures. C'est le moment le plus propice pour recueillir une impression personnelle. À cette heure matinale, en effet, la foule des touristes n'a pas accès dans la manufacture ; le travail bat son plein dans la cité, et le chantier et l'atelier présentent leur physionomie réelle que n'a pas encore altérée la fatigue d'une demi-journée de labeur. (1900)
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Terrible méprise
Un accident des plus sérieux a eu lieu hier matin, 4, rue Jean-Marie Jégot, à la Butte-aux-Cailles.