UNE ÉVOCATION DU 13e ARRONDISSEMENT DE 1860 AUX ANNÉES 30

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Une évocation du 13e arrondissement de 1860 aux années 30

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Le 13e dans la littérature

Littérature

Le 13e en littérature

Rue des Cinq-diamants

La criminelle

par
Jules Lermina

Un plus érudit découvrira l'origine de ce nom singulier, la rue des Cinq-Diamants.
L'étude consciencieuse qui a été faite pour le vieux Paris tentera quelque explorateur des anciennes banlieues annexées : et quel champ plus vaste sera offert à sa curiosité que l'étrange et hideux quartier de la Butte-aux-Cailles ?

(1881)

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Butte-aux-Cailles

Les apaches de la Butte-aux-Cailles

par
Lucien Victor-Meunier

Très peu de Parisiens, assurément, connaissent la « Butte-aux-Cailles ». C'est très loin, très loin, passé la place d'Italie, au diable dans ces régions où l'on ne va pas...

(1907)

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Butte-aux-Cailles

Madame Sept-Quatre

par
William Cobb
(Jules Lermina)

En tournant le dos à la Seine, à la hauteur du pont des Arts, et en s'engageant en ligne droite sur la rive gauche, on laisse à droite le cimetière Montparnasse et on parvient aux anciens boulevards extérieurs. Là se trouve le boulevard d’Italie et l’ex barrière du même nom.
À deux pas, un peu sur la droite, s’étend l’un des quartiers les plus curieux et les moins connus de Paris.
C’est la butte aux Cailles.

(1873)

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De la place d'Italie à la Bièvre via l'avenue de la soeur Rosalie et la ruelle des Reculettes

Le faiseur de momies

par
Georges Spitzmuller et Armand Le Gay

Dans ce roman paru en feuilleton dans Le Matin, Georges Spitzmuller et Armand Le Gay emmènent leur lecteur sur la piste de M. Ducroc, chef de la sûreté, pour qui le XIIIe arrondissement n'avait pas de secret.

(1912)

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Rue du Dessous-des-Berges

La dame de pique

par
Jules de Gastyne

Il existe à Paris, dans les quartiers perdus, des rues mornes et désertes qu'on traverse avec un sentiment de stupeur.

(1906)

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A travers la Maison-Blanche

Les apaches de la Butte-aux-Cailles

par
Lucien Victor-Meunier

Un instant plus tard, elle était dehors dans le terrain vague qui descendait en pente rapide vers la vallée de la Bièvre...

(1907)

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La poterne des Peupliers

La vague rouge

par
J. H. Rosny Ainé

Un homme s'arrêta sur la route, près de Gentilly. Il considéra le paysage misérable et puissant, les fumées vénéneuses, l'occident frais et jeune comme aux temps de la Gaule celtique.
Si l'auteur nomme une poterne des Tilleuils, c'est bien de la poterne des Peupliers dont s'agit.

(1910)

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 Où Emile Gaboriau fait découvrir le quartier Croulebarbe à ses lecteurs

Où Emile Gaboriau fait découvrir le quartier Croulebarbe à ses lecteurs...

[...]

Le vieux clerc était arrivé à la porte de l'ancien cuisinier, porte historiée de toutes sortes de plaques, il sonna.

Une grosse femme à l'air affreusement commun, vint lui ouvrir.

– M. Perpignan ? demanda le bon Tantaine..

– Il est sorti.

– À quelle heure reviendra-t-il?

– Je ne sais s'il rentrera avant ce soir.

– Je connais ça. Cependant, comme il faut que je lui parle aujourd'hui même, je vous serai obligé de me dire où je puis le rencontrer.

Il ne m'a pas dit où il allait. Mais, si monsieur vient pour des renseignements.

Le bonhomme eut un de ces sourires qui donnait à sa face rougeaude l'expression du plus pur idiotisme.

— Ne serait-il pas à la fabrique? demanda-t-il.

La grosse femme prévoyait si peu cette question, qu'elle tressaillit et recula.

— Comment! balbutia-t-elle, vous savez ?...

— Parbleu! Ainsi, ne vous gênez pas avec moi. Est-il là-bas ?

—  Je le crois.

— Merci. Je l'y rejoins.

Et saluant assez peu poliment, contre son habitude, l'affreuse mégère, le bon Tantaine tourna les talons.

— Voilà, grondait-il, un désagréable contretemps, une course d'une lieue !... merci !... D'un autre côté, cependant, pris à l'improviste au milieu de ses honnêtes occupations le gaillard, n'étant pas sur ses gardes, sera plus bavard et plus coulant. Marchons donc.

Il ne marchait pas, il courait avec une agilité qu'on n'eût jamais attendue de ses maigres jambes.

C'est avec une vitesse double de celle d'un fiacre à l'heure, qu'après avoir suivi la rue de Tournon et traversé diagonalement le Luxembourg, il se lança dans la rue Gay-Lussac.

Toujours du même train, il suivi la rue des Feuillantines, remonta, l'espace de cent pas, la rue Mouffetard, et enfin s'élança dans les ruelles qui s'enlacent et se croisent entre la manufacture des Gobelins et l'hôpital de Lourcine.

C'est là un quartier étrange, inconnu, à peine soupçonné de la part des Parisiens.

On se croirait mille lieues du boulevard Montmartre, quand on longe ces rues — il faudrait dire ces chemins — inaccessibles aux voitures, où s'élèvent de loin en loin des masures inhabitables et pourtant habitées, bordées presque partout de murs qui tombent en ruines.

Des hauteurs de la ruelle des Gobelins, le spectacle est saisissant.

À ses pieds, on a une vallée au fond de laquelle coule, ou plutôt reste stagnante, stagnante, la Bièvre, noire et boueuse. De tous côtés, des usines, des tanneries aux toits rouges avec leur énormes amas de tan, des séchoirs à mottes ou des étendoirs de teinturiers, puis, de-ci et de-là, au milieu de bouquets d'arbres, des taudis, des bouges, parfois une haute maison d'aspect désolé.

À gauche on a les bâtisses de la populeuse et travailleuse rue Mouffetard. À droite, l'œil suit les ombrages des boulevards extérieurs.

En face, de l'autre côté de la place d'Italie, un rideau de peupliers qui indique le cours de la Bièvre ferme l'horizon.

Si on se retourne, on domine Paris…

Involontairement le père Tantaine s'arrêta et regarda.

Une pensée s'agitât en son cerveau qui amena sur ses lèvres un sourire amer.

Mais la seconde d'après il haussa les épaules et continua sa route.

Il semblait un habitant du quartier, tant il allait sûrement par ces chemins capricieusement tracés.

Il se risqua dans ce casse-cou qui s'appelle la ruelle des Reculettes, tourna la rue Croulebarbe et enfin arrivé rue Champ-de-l‘Alouette, il eut un soupir de satisfaction en murmurant :

— C'est ici.

Il était devant une maison à trois étages, très vaste, précédée d'une cour qu'entourait une clôture de planches à demi-pourries.

La maison était isolée, l'endroit sinistre. On devait se demander si ce logis n'était pas abandonné et si le feu n'y avait pas passé, dévorant jusqu'aux châssis des fenêtres.

Le vieux clerc, après une minute de délibération, traversa la cour où broutait une chèvre attachée à un piquet, et entra bravement dans la maison. L'intérieur répondait au dehors.

Deux pièces seulement composaient le rez-de-chaussée.

Dans l'une on avait étendu de la paille à terre, en assez grande quantité, et sur cette paille se trouvaient des lambeaux d'étoffes grossières et des débris de couvertures.

L'autre pièce était transformée en cuisine, et on y avait dressé une table, c'est-à-dire qu'on avait ajusté de longues planches sur deux tréteaux. Devant la cheminée de cette cuisine, une affreuse mégère au teint enflammé par l'alcool, à l'œil pétillant de méchanceté, coiffée d'un madras, repoussante, malpropre, surveillait, armée d'une spatule de bois, l'ébullition d'un immense chaudron où cuisaient des choses indescriptibles.

Dans un renfoncement, près de la cheminée, sur une espèce de lit de fer, maigrement garni d'un matelas varech, geignait et grelottait un petit garçon d'une dizaine d'années.

Sa figure, sur l'étoffe déchirée et ignoblement sale de l'oreiller, ressortait plus blanche que la cire ses petites mains étaient effrayantes de maigreur, et la fièvre donnait à ses grands yeux noirs un éclat de mauvais augure

Par moments, la souffrance lui arrachait un gémissement plus fort que les autres, mais aussitôt la vieille femme se retournait et le menaçait de sa spatule. Te tairas-tu, méchant « môme » ? disait-elle.

Ah ! j'ai mal, geignait le malheureux avec un accent italien des plus prononcés, j'ai bien mal !...

—Il fallait travailler, mauvais fainéant, reprit la vieille. Si tu avais rapporté de bonnes journées, on ne t'aurait pas battu; si on ne t'avait pas battu, tu ne serais pas là!...

—Ah!... J'ai mal, j'ai froid, je voudrais retourner au pays, revoir maman!...

Si émoussée que puisse et doive être la sensibilité d'un vieux clerc d'huissier habitué à procéder au milieu des plus déchirantes explosions de la misère et de la ruine, la scène était si affligeante, que le bon Tantaine en fut remué.

A plusieurs reprises, et en y mettant l'insistance de l'affectation, il toussa pour annoncer sa présence.

La mégère, à la fin, se retourna avec un grognement de dogue qui redoute de se voir arracher un os.

—Que voulez-vous? demanda-t-elle d'une voix dont des torrents de mêlé-cassis avaient brisé les cordes.

—Le bourgeois?

—Pas arrivé.

—Viendra-t-il?

—Ah! voilà!... ça dépend. C'est bien son jour, mais il n'est pas exact. Au surplus adressez-vous à M. Poluche.

—Qui ça, Poluche?

L'horrible vieille eut une grimace de dédain. Il lui parut prodigieux que celui dont elle parlait ne fût pas plus connu que cela.

—C'est le professeur, répondit-elle.

—Ou est-il?

—Eh!... là-haut, vieux serin!... dans le conservatoire.

Et, se retournant vivement, car le chaudron débordait, à cause du bouillon trop fort, elle ajouta:

—Voilà assez de questions comme ça, n'est-ce pas? On n'est pas de la police, pour vous répondre. Faites-moi le plaisir de me montrer vos talons.

[...]

Émile Gaboriau
Les Esclaves de Paris (1868)

Plan de Paris - 1861


Sur la ruelle des Reculettes

Historique

  • La ruelle des Reculettes vue en 1913

"Les Reculettes" dans la presse

  • La ruelle des Reculettes et la Bièvre - 1914
  • Dans la ruelle des Reculettes (Gabriel-Ursin Langé, 1928)
  • La sente des Reculettes devient une rue - 1932

Faits-divers

  • La Jalousie d'un Vieillard - 1904
  • La chasse aux indésirables - 1938

La ruelle des Reculettes dans la littérature

  • Les esclaves de Paris - Emile Gaboriau (1868)
  • Les monstres de Paris - Paul Mahalin (1879)
  • La petite Miette - Eugène Bonhoure (1889)
  • La main trouée - Montfermeil (1901)
  • Le Faiseur de Momies - Georges Spitzmuller et Armand Le Gay (1912)

Le 13e en littérature

A travers la Maison-Blanche

Les apaches de la Butte-aux-Cailles

par
Lucien Victor-Meunier

Un instant plus tard, elle était dehors dans le terrain vague qui descendait en pente rapide vers la vallée de la Bièvre...

(1907)

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La poterne des Peupliers

La vague rouge

par
J. H. Rosny Ainé

Un homme s'arrêta sur la route, près de Gentilly. Il considéra le paysage misérable et puissant, les fumées vénéneuses, l'occident frais et jeune comme aux temps de la Gaule celtique.
Si l'auteur nomme une poterne des Tilleuils, c'est bien de la poterne des Peupliers dont s'agit.

(1910)

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Rue des Peupliers

Perdues dans Paris

par
Jules Mary

Un des coins de Paris, misérable et sinistre. La longée des fortifications plantées d'arbres en double ou triple rangée, le côtoie pourtant de verdures plaisantes durant la belle saison, mais, en réalité, sépare pour ainsi dire cette région parisienne du reste du monde. Du haut de la rue des Peupliers...

(1908)

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Quartier Croulebarbe

Les esclaves de Paris

par
Émile Gaboriau

C'est là un quartier étrange, inconnu, à peine soupçonné de la part des Parisiens...
Où Emile Gaboriau fait découvrir le quartier Croulebarbe à ses lecteurs.

(1868)

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La Cité Jeanne-d'Arc

Un gosse

par
Auguste Brepson

La cité Jeanne-d'Arc est ce vaste ensemble de bâtiments noirs, sordides et lugubres percés comme une caserne de mille fenêtres et dont les hautes façades s’allongent rue Jeanne-d'Arc, devant la raffinerie Say.

(1928)

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Butte-aux-Cailles

La vague rouge

par
J. H. Rosny Ainé

L'homme suivit d'abord la rue de Tolbiac, puis s'engagea par ces voies ténébreuses, bordées de planches, de lattes et de pieux, qui montent vers la Butte-aux-Cailles. Les oiseaux des réverbères dansaient dans leurs cages de verre. On apercevait des terrains fauves, des chaînes de bosselures, des rampes de lueurs, des phares dans un trou du ciel, et, du côté de la Butte, un nuage de feu pâle évaporé sur Paris...

(1910)

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Le quartier de la Gare

Monsieur Lecoq

par
Émile Gaboriau

Le 20 février 18.., un dimanche, qui se trouvait être le dimanche gras, sur les onze heures du soir, une ronde d’agents du service de la sûreté sortait du poste de police de l’ancienne barrière d’Italie.
La mission de cette ronde était d’explorer ce vaste quartier qui s’étend de la route de Fontainebleau à la Seine, depuis les boulevards extérieurs jusqu’aux fortifications.
Ces parages déserts avaient alors la fâcheuse réputation qu’ont aujourd’hui les carrières d’Amérique.

(1869)

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Saviez-vous que... ?

Dans son numéro du 16 août 1852, la Revue Municipale écrivait :
« Quartier Saint-Marcel. — Les eaux de la Bièvre.
« Depuis quelques mois, le manque d'eau oblige l'Administration à ne renouveler que très-rarement l'eau de la Bièvre, qui devient ainsi de plus en plus infecte.
« Tous les quinze jours, on vide complètement le canal, et l'eau dont on le remplit ensuite n'est qu'une espèce de fumier fluide qui ne peut se comparer qu'aux produits accumulés dans une voirie.
« Lorsque ce renouvellement a lieu, il s'opère avec de l'eau extrêmement corrompue et d'une telle puanteur qu'à l'instant même où ce flot immonde pénètre dans le canal, une odeur de vidange se répand à une grande distance dans la vallée de la Bièvre, et pénètre dans les maisons qui deviennent inhabitables.
« En présence d'inconvénients aussi dangereux, l'Administration doit se hâter de prescrire des mesures de salubrité. »

*
*     *

C’est en juin 1890 que la rue de Lourcine, rue traversant les 5e et 13e arrondissements, existant depuis le XIIe siècle et rendue célèbre par Eugène Labiche par sa pièce de théâtre représentée pour la première fois en 1857, changea de nom pour devenir la rue Broca, anthropologue et chirurgien. Cette modification souleva quelques protestations notamment de la part de Henri Wallon. En décembre 1944, la partie de la rue Broca, été comprise entre le boulevard Arago et la rue de la Santé prit le nom de Léon-Maurice Nordmann, avocat et résistant français, fusillé en 1942 dans la forteresse du Mont-Valérien, en conservant la numérotation de la rue Broca.

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*     *

La société des fourneaux de Saint-Vincent de Paul, le 5 novembre 1897 ouvraient, comme chaque année, ses fourneaux (au nombre de 26 en 1897) qui restèrent ouverts jusqu’au 30 avril 1898, tous les jours non fériés, de huit heures à onze heures du matin. Trois d'entre eux étaient situés dans le 13ème : 45 rue Corvisart, 35 rue de la Glacière et 87 bis rue Jenner.
Avec un bon de dix centimes, les malheureux recevaient une portion de pain, bouillon, viande, légumes, etc. enfin, de quoi se réconforter.
Ces établissements charitables étaient dirigés par les Sœurs.

*
*     *

Le 20 mai 1870, le quotidien Le Siècle écrivait :
« On nous informe qu'à la Butte-aux Cailles (treizième arrondissement), plusieurs terrains vagues, au lieu d'être clos suivant les prescriptions d'une ordonnance de police déjà vieille, sont ouverts à tout venant, il en résulte que du matin au soir ce sont de véritables latrines publiques, et que les habitants des maisons voisines ont les yeux et l'odorat également offensés. Ajoutons que, la nuit, ces terrains formant des impasses profondes et obscures, messieurs les maraudeurs en profitent pour pénétrer de là dans les jardins et basses-cours qu'ils mettent au pillage. »

L'image du jour

La place Pinel

La place Pinel, ex barrière des Deux-Moulins, était un point de passage important dans l'attente de l'achèvement de la rue Jeanne-d'Arc et les rues de Campo-Formio et Esquirol qui en partaient, étaient des axes majeurs pour entrer véritablement dans Paris.

© paris-treizieme.fr pour la transcription du texte

HISTOIRE DES QUARTIERS

  • La Salpêtrière
  • La Gare
  • Maison Blanche
  • Croulebarbe

ACCES PAR NOM

  • Nomenclature des rues
  • Liste des auteurs

LES DRAMES DU 13e

  • Le drame de la rue Albert
  • Le drame de la rue de l'Espérance
  • Le drame de la rue Vandrezanne
  • Le drame du quartier de la Gare
  • Un drame du terme
  • Tous les drames...

LE TREIZIÈME AVANT LE 13e

  • Le Petit-Gentilly (1820)
  • De la difficulté d’être le treizième arrondissement
  • La bergère d'Ivry (1827)
  • L'abattoir de Villejuif (1812)
  • Sommaire complet

LE TREIZIÈME EN 1860

  • Notice administrative, historique et municipale sur le XIIIe Arrondissement par Ph. Doré fils

ACCÈS THÉMATIQUES

  • L'aménagement du 13e
  • Les grandes voies du 13e
  • La petite ceinture dans le 13e
  • Le Métropolitain dans le 13e
  • Les tramways dans le 13e
  • La gare d'Austerlitz
  • Le puits artésien de la Butte-aux-Cailles
  • La place d'Italie
  • La cité Doré
  • La cité Jeanne d'Arc
  • Le passage Moret
  • L'asile Nicolas-Flamel
  • Les hôpitaux de la Pitié et de la Salpêtrière
  • Les fouilles archéologiques dans le 13e
  • Le Siège de Paris (1870-71)
  • Le 13e sous la Commune
  • La catastrophe de la rue de Tolbiac (20 oct. 1915)
  • Le jardin des Gobelins
  • La manufacture des Gobelins
  • La "Folie Neubourg"
  • Le marché aux chevaux
  • Les grandes eaux du boulevard Kellermann
  • Ateliers, fabriques et petits métiers du XIIIe
  • Chiffons et chiffonniers
  • Bals de Paris, bals de barrière, cabarets, bouges et assommoirs
  • L'épidémie de la Maison-Blanche (1890)
  • Les étrangleurs des Gobelins
  • Sur les communes limitrophes
  • La zone dans le 13e

VIDÉOS

  • Auguste Lançon et le 13e
  • Marville, la rue de Tolbiac
  • Quai de la Gare, janvier 1910
  • La place Nationale
  • Le marché aux chevaux

L'image du jour


Le feuilleton


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