UNE ÉVOCATION DU 13e ARRONDISSEMENT DE 1860 AUX ANNÉES 30

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Une évocation du 13e arrondissement de 1860 aux années 30

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Le 13e dans la littérature

Littérature

Le 13e en littérature

Les Gobelins

Zizine

par
Alexandre Arnoux

Dans le quartier des Gobelins, un gymnase. Des athlètes donnent une représentation suivie par une foule fervente. Dans cette foule un couple a attiré l’attention du narrateur. Elle, Zizine, femme superbe ; lui, petit, contrefait, douloureux. Milarot, champion du monde, est dans la salle.

(1938)

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La Folie Neubourg

Le faiseur de momies

par
Georges Spitzmuller et Armand Le Gay

Le promeneur qui remonte le boulevard Auguste-Blanqui dans la direction de la place d'Italie, est frappé par l'aspect pittoresque d'une vieille maison enclose dans le triangle formé par ce boulevard, la rue Edmond-Gondinet et la rue Corvisart.

(1912)

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La rue du Pot-au-Lait

Le drageoir aux épices

par
Joris-Karl Huysmans

Quelle rue étrange que cette rue du Pot-au-Lait ! déserte, étranglée, descendant par une pente rapide dans une grande voie inhabitée, aux pavés enchâssés dans la boue...

(1874)

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La gare de la Maison-Blanche

Le drame de Bicêtre

par
Eveling Rambaud et E. Piron

Honoré fit halte avenue d'Italie, devant la station du chemin de fer de Ceinture. Il sauta sur le trottoir en disant :
— Cherche, Bob, cherche !

(1894)

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Butte-aux-Cailles

Le Trésor caché

par
Charles Derennes

Depuis toujours on habitait, mon père et moi, sur la Butte-aux-Cailles ; encore aujourd'hui, ce quartier-là n'est guère pareil à tous les autres. Mais si vous l'aviez vu du temps que je vous parle ! Des cahutes s'accrochaient à la butte comme des boutons au nez d'un galeux ; ça grouillait de gosses et de chiens, de poux et de puces...

(1907)

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Ruelle des Reculettes

La petite Miette

par
Eugène Bonhoure

— Où demeure le pharmacien? demanda Furet.
— Au coin de la rue Corvisart et de la rue Croulebarbe.
— Est-ce qu'il y a deux chemins pour y aller ?

(1889)

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Tout le 13e

Taupin

par
Séverine

À l'horizon, passé la plaine de la Glacière, vers la poterne des Peupliers, les « fortifs » verdoyaient comme une chaîne de collines.

(1909)

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 Le faiseur de momies - 2e partie - chap. 10

DEUXIÈME PARTIE

Sur la piste

X
Comment Frisquet retrouva la piste et ce qui s’en suivit

Quant à nous, revenons à l'agent Bardet et à Frisquet, que nous avons quittés au moment où ils sortaient de l'Académie.

Une fois dehors, où il s’était précipité avec la rapidité d'une flèche, le chien s'arrêta brusquement et leva le nez en l'air pour prendre le vent.

Puis il le rabaissa presque aussitôt et fit quelques pas en remontant la ruelle dans la direction de la place d'Italie et en flairant le sol. Mais il paraît que ce premier examen ne le satisfit pas car après avoir éternué bruyamment, ce qui était du probablement au picotement produit sur des narines délicates par les émanations de l’eau chargée d’acides coulant au milieu du passage, il revint sur ses pas.

Cette fois, il devait avoir trouvé quelque chose car après s’être arrêté encore une fois pour sentir les pavés, il en gratta la terre qu’il projeta au loin avec une sorte de fureur et repartit en descendant, le nez toujours collé au sol, avec une telle rapidité que l’agent Bardet avait peine à le suivre.

Il était évident qu’il tenait maintenant la piste.

Sitôt franchi le singulier portail qui donnait accès à cette partie du passage, la ruelle des Reculettes faisait un coude brusque à droite, s’élargissait et prenait un air moins sinistre en dépit de quelques vieilles masures aux fenêtres munies d’épais barreaux de fer comme celles d’une forteresse ou d’une prison.

Le même ruisseau sale coulait au milieu mais des pierres de taille fraichement coupées y jetaient comme une note gaie de blancheur.

À cet endroit, le passage des Reculettes débouche dans la rue Croulebarbe qui réunit le boulevard Auguste Blanqui à l’avenue des Gobelins.

À cet endroit, le passage des Reculettes débouche dans la rue Croulebarbe qui réunit le boulevard Auguste Blanqui à l’avenue des Gobelins.

Sans aucune hésitation, Frisquet tourna à droite en remontant dans cette dernière direction. L’agent Bardet le suivit en pressant tellement le pas que par moment il était obligé de courir car le chien, emporté par l’ardeur de cette chasse à l’homme, ne s’occupait pas plus de lui que s’il n’existait pas ; il semblait avoir oublié complètement le maitre provisoire que Sébastien lui avait donné.

Heureusement, le brave agent était sans trop d'inquiétude. Il ne risquait guère de perdre de vue son étrange guide dans cette voie relativement large, sans tournants accentués et presque déserte, bordée d'un côté de vieilles maisons, et de l'autre de jardins qui descendaient en pente rapide vers la Bièvre invisible.

« Il était arrivé à l'angle pointu formé par la manufacture des Gobelins où la voie bifurquait ; à droite la rue Croulebarbe continuait, à gauche c'était la ruelle des Gobelins. »
(D'après une photographie de Charles Lansiaux)

Mais bientôt le chien fit un nouvel et brusque arrêt. Il était arrivé à l'angle pointu formé par la manufacture des Gobelins où la voie bifurquait ; à droite la rue Croulebarbe continuait, à gauche c'était la ruelle des Gobelins.

Laquelle était la bonne des deux ?

L'animal eut un moment d'hésitation qui ne fut pas de longue durée.

Après avoir décrit quelques cercles où il prit connaissance de ces émanations subtiles que seul l'odorat merveilleux du chien peut percevoir, il s'engagea résolument dans la ruelle des Gobelins.

Un étroit passage, bordé à gauche de hautes constructions en planches à auvents, appartenant à des usines de mégisserie et de corroierie, se terminait par un escalier avec un garde-fou en fer, au bas duquel apparaissait un tout petit bout de Bièvre

Un étroit passage, bordé à gauche de hautes constructions en planches à auvents, appartenant à des usines de mégisserie et de corroierie, se terminait par un escalier avec un garde-fou en fer, au bas duquel apparaissait un tout petit bout de Bièvre dont les eaux huileuses et moirées miroitaient de toutes les couleurs de l'arc en ciel.

En deux bonds, Frisquet eut dégringolé cet escalier. Il courut à la porte jaune d'une maison qui portait le numéro 19.

Une fois là, il flaira longuement la porte et en gratta le bas avec une telle force que ses griffes y laissèrent leur marque, comme s'il eût voulu l'ouvrir.

Voyant bien que ses efforts étaient inutiles, il parut se souvenir tout à coup du compagnon qu'il avait négligé jusqu'alors, et tournant la tête vers lui il se dressa tout debout, les pattes appuyées sur la porte comme pour lui faire comprendre que c'était là qu'il fallait entrer.

— Ah ! bah ! fit l'agent Bardet, interloqué… il n'y va pas de main morte, l'ami Frisquet. Je ne peux tout de même pas comme ça pénétrer dans une maison... Je n'en ai pas le droit... Et puis, si le bonhomme est là-dedans, comme je le présume, ça ferait du joli !...

Mais le regard du chien était si éloquent, il y mettait maintenant tant d'insistance en frétillant désespérément de la queue et en tirant l'agent par le coin de sa blouse toute blanche de plâtre, que celui-ci se rendit à moitié.

— Après tout, murmura-t-il, on peut toujours risquer un œil… Ça n'engage à rien...

Et il tourna doucement le bouton de la porte qui s’ouvrit sans difficulté.

À son grand étonnement, ce ne fut point dans une maison qu'il se trouva, mais dans un passage extrêmement tortueux, puant et noir, resserré au point que les maisons qui le bordaient étaient si rapprochées que d'une fenêtre l'autre on eût pu se donner une poignée de mains.

Des maisons misérables, accolées, tombant en ruines sous leur épaisse couche de crasse, prenant le jour ceci est une façon de parler par d'étroites fenêtres encombrées de paires de chaussettes, de caleçons, de chemises, en train de sécher au soleil sur des ficelles.

On accédait à l'unique étage par un escalier extérieur en bois dont la vétusté moisie faisait craindre à tout moment qu'il ne vint à s'écrouler sous un pas trop pesant.

Dans ces courettes dont la porte demi poussée laissait apercevoir l'intérieur, grouillait toute une marmaille déguenillée qui s'en donnait à cœur joie de jouer et de brailler

Dans ces courettes dont la porte demi poussée laissait apercevoir l'intérieur, grouillait toute une marmaille déguenillée qui s'en donnait à cœur joie de jouer et de brailler, confondue dans une promiscuité fraternelle avec les poules, les chats et les chiens, sans souci des odeurs nauséabondes qui émanaient des tas de fumier, de détritus et d'immondices accumulés dans les coins.

Aussi bien, en fait d'odeurs pestilentielles, on était servi à souhait. Il s'en dégageait de tous les côtés du sol où elles montaient avec une âcreté d'acides qui prenait à la gorge et vous faisait venir les larmes aux yeux des hauts séchoirs des tanneries qui dominaient de plusieurs étages cette cité de puanteurs, véritables charniers où étaient exposés à l'air libre des milliers de peaux de lapins secouant les poils qui s'en détachaient et voltigeaient au vent comme des flocons de neige sale.

Si fortes cependant que fussent ces émanations, elles ne parurent pas avoir d'effet sur le nez de notre ami Frisquet pour lui faire perdre la piste qu'il poursuivait avec tant d'acharnement

Au contraire, quand l'agent Bardet lui eut ouvert la porte de ce boyau où le soleil avait grand'peine à pénétrer, et où devait pulluler la vermine, il lui en témoigna sa joie avec effusion par deux ou trois gambades folles en tournant sur lui-même et en posant ses pattes sur ses épaules, en même temps que d'un coup de langue il lui débarbouillait la joue droite du plâtre qui la recouvrait.

Après avoir dit ainsi merci à sa manière, il parut se calmer subitement. Ses allures changèrent du tout au tout. Il n'avança plus qu'avec une extrême prudence.

L'agent, qui était doué d'une bonne dose d'observation, ne fut pas sans remarquer ces indices significatifs, et il en conclut que l'intelligent animal devait être arrivé au bout de sa piste.

Frisquet fit encore quelques pas et s'arrêta devant une masure d'aspect plus miteux que les autres, dont le bas était occupé par un cabaret borgne

En effet, Frisquet fit encore quelques pas et s'arrêta devant une masure d'aspect plus miteux que les autres, dont le bas était occupé par un cabaret borgne, avec cette inscription à demi-effacée :

VINS ET LIQUEURS
Au rendez-vous des aminches

Une fois là, le chien aspira l'air fortement à plusieurs reprises, puis satisfait sans doute des renseignements que son nez venait de lui donner, s'allongea paresseusement au soleil, ferma les yeux comme s'il allait dormir et attendit.

— Notre homme doit être là, pensa Bardet qui, au cours du trajet, avait fait ses réflexions et avait toute confiance maintenant dans le flair merveilleux de l'intelligente bête dont la sagacité avait fait ses preuves.

Suite



Le faiseur de momies (2e partie)

Dans le chapitre 7

  • Où M. Ducroc chef de la sûreté, emprunte l'avenue de ma Sœur Rosalie pour rejoindre la ruelle des Reculettes.

Dans le chapitre 10

  • Où l'agent Bardet et le chien Frisquet remontent la rue Croulebarbe et la ruelle des Gobelins
  • Où l'agent Bardet, quittant l'ile aux Singes par la rue des Cordelières, suit sa piste jusqu'au boulevard Saint-Marcel.
  • Où l'agent Bardet se transforme en cocher de fiacre.

Dans le chapitre 19

  • Où Sébastien Blanc parcourt la rue Croulebarbe pour se rendre dans le cabaret de la ruelle des Gobelins.

Dans le chapitre 21

  • Où le promeneur qui remonte le boulevard Auguste-Blanqui dans la direction de la place d'Italie, est frappé par l'aspect pittoresque d'une vieille maison.

Le 13e en littérature

Butte-aux-Cailles

Les apaches de la Butte-aux-Cailles

par
Lucien Victor-Meunier

Très peu de Parisiens, assurément, connaissent la « Butte-aux-Cailles ». C'est très loin, très loin, passé la place d'Italie, au diable dans ces régions où l'on ne va pas...

(1907)

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Butte-aux-Cailles

Madame Sept-Quatre

par
William Cobb
(Jules Lermina)

En tournant le dos à la Seine, à la hauteur du pont des Arts, et en s'engageant en ligne droite sur la rive gauche, on laisse à droite le cimetière Montparnasse et on parvient aux anciens boulevards extérieurs. Là se trouve le boulevard d’Italie et l’ex barrière du même nom.
À deux pas, un peu sur la droite, s’étend l’un des quartiers les plus curieux et les moins connus de Paris.
C’est la butte aux Cailles.

(1873)

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De la place d'Italie à la Bièvre via l'avenue de la soeur Rosalie et la ruelle des Reculettes

Le faiseur de momies

par
Georges Spitzmuller et Armand Le Gay

Dans ce roman paru en feuilleton dans Le Matin, Georges Spitzmuller et Armand Le Gay emmènent leur lecteur sur la piste de M. Ducroc, chef de la sûreté, pour qui le XIIIe arrondissement n'avait pas de secret.

(1912)

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Rue du Dessous-des-Berges

La dame de pique

par
Jules de Gastyne

Il existe à Paris, dans les quartiers perdus, des rues mornes et désertes qu'on traverse avec un sentiment de stupeur.

(1906)

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A travers la Maison-Blanche

Les apaches de la Butte-aux-Cailles

par
Lucien Victor-Meunier

Un instant plus tard, elle était dehors dans le terrain vague qui descendait en pente rapide vers la vallée de la Bièvre...

(1907)

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La poterne des Peupliers

La vague rouge

par
J. H. Rosny Ainé

Un homme s'arrêta sur la route, près de Gentilly. Il considéra le paysage misérable et puissant, les fumées vénéneuses, l'occident frais et jeune comme aux temps de la Gaule celtique.
Si l'auteur nomme une poterne des Tilleuils, c'est bien de la poterne des Peupliers dont s'agit.

(1910)

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Rue des Peupliers

Perdues dans Paris

par
Jules Mary

Un des coins de Paris, misérable et sinistre. La longée des fortifications plantées d'arbres en double ou triple rangée, le côtoie pourtant de verdures plaisantes durant la belle saison, mais, en réalité, sépare pour ainsi dire cette région parisienne du reste du monde. Du haut de la rue des Peupliers...

(1908)

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Saviez-vous que... ?

Le 9 juin 1977, une jeune fille, tout en larmes, déclarait, à huit heures du soir, qu'un enfant venait de tomber dans un puits à découvert, sur un terrain entouré de planches, appartenant à la Ville, et situé rue de Patay et de Tolbiac.
Immédiatement, on prévint les sapeurs-pompiers du poste de la rue du Château-des-Rentiers. Sans perdre un instant, ceux-ci se rendirent au puits fatal. Le caporal y descendit, et en revient avec deux chiens vivants.

*
*     *

Le 13 juillet 1880 furent organisées des retraites au flambeau dans les principaux quartiers du 13ème arrondissement et le 14, eût lieu à 2 heures, une grande cavalcadre au profit des écoles. Des fêtes forraines se tenaient sur les places et avenue de l'arrondissement et des concerts furent donnés par les sociétés instrumentales et chorales.

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*     *

Le 4 octobre 1923, par suite d'un dérapage, un camion-auto, chargé de caisses vides, renversait un candélabre en face le numéro 41 de la rue de Tolbiac.

*
*     *

Jusqu'en 1865, la rue de Patay (bourg du Loiret où Jeanne d'Arc défit les Anglais en 1429) portait le nom de boulevard de Vitry.

L'image du jour

Le carrefour Italie-Tolbiac

Avec l'achèvement, au début des annés 1880, de la rue de Tolbiac, section du "boulevard du Transit", ancien nom de la grande voie structurante traversant la rive gauche, la rue militaire longeant les fortifications étant encore impraticable pour une circulation des biens et des personnes, le carrefour Italie/Tolbiac devint le point central du 13e, avec un attrait renforcé par la présence de la "Ville de Strasbourg", seul grand magasin de l'arrondissement, de nombreux commerces et débits de boissons et de la chapelle Bréa, église du quartier. ♦

© paris-treizieme.fr pour la transcription du texte

HISTOIRE DES QUARTIERS

  • La Salpêtrière
  • La Gare
  • Maison Blanche
  • Croulebarbe

ACCES PAR NOM

  • Nomenclature des rues
  • Liste des auteurs

LES DRAMES DU 13e

  • Le drame de la rue Albert
  • Le drame de la rue de l'Espérance
  • Le drame de la rue Vandrezanne
  • Le drame du quartier de la Gare
  • Un drame du terme
  • Tous les drames...

LE TREIZIEME AVANT LE 13e

  • Le Petit-Gentilly (1820)
  • De la difficulté d’être le treizième arrondissement
  • L'abattoir de Villejuif
  • Boulevard de l'Hôpital
  • La bergère d'Ivry (1827)
  • Un vol à la Butte-aux-Cailles

LE TREIZIÈME EN 1860

  • Notice administrative, historique et municipale sur le XIIIe Arrondissement par Ph. Doré fils

ACCES THEMATIQUES

  • L'aménagement du 13e
  • Les grandes voies du 13e
  • La petite ceinture dans le 13e
  • Le Métropolitain dans le 13e
  • La gare d'Austerlitz
  • Le puits artésien de la Butte-aux-Cailles
  • La place d'Italie
  • La cité Doré
  • La cité Jeanne d'Arc
  • Le passage Moret
  • L'asile Nicolas-Flamel
  • Les hôpitaux de la Pitié et de la Salpêtrière
  • Les fouilles archéologiques dans le 13e
  • Le Siège de Paris (1870-71)
  • Le 13e sous la Commune
  • La catastrophe de la rue de Tolbiac (20 oct. 1915)
  • Le jardin des Gobelins
  • La manufacture des Gobelins
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  • Le marché aux chevaux
  • Les grandes eaux du boulevard Kellermann
  • Ateliers, fabriques et petits métiers du XIIIe
  • Chiffons et chiffonniers
  • Cabarets, bouges et assommoirs
  • L'épidémie de la Maison-Blanche (1890)
  • Les étrangleurs des Gobelins
  • Sur les communes limitrophes
  • La zone dans le 13e

VIDÉOS

  • Auguste Lançon et le 13e
  • Marville, la rue de Tolbiac
  • Quai de la Gare, janvier 1910
  • La place Nationale
  • Le marché aux chevaux

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