UNE ÉVOCATION DU 13e ARRONDISSEMENT DE 1860 AUX ANNÉES 30

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Une évocation du 13e arrondissement de 1860 aux années 30

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Le 13e dans la littérature

Littérature

Le 13e en littérature

Rue des Peupliers

Perdues dans Paris

par
Jules Mary

Un des coins de Paris, misérable et sinistre. La longée des fortifications plantées d'arbres en double ou triple rangée, le côtoie pourtant de verdures plaisantes durant la belle saison, mais, en réalité, sépare pour ainsi dire cette région parisienne du reste du monde. Du haut de la rue des Peupliers...

(1908)

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Quartier Croulebarbe

Les esclaves de Paris

par
Émile Gaboriau

C'est là un quartier étrange, inconnu, à peine soupçonné de la part des Parisiens...
Où Emile Gaboriau fait découvrir le quartier Croulebarbe à ses lecteurs.

(1868)

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La Cité Jeanne-d'Arc

Un gosse

par
Auguste Brepson

La cité Jeanne-d'Arc est ce vaste ensemble de bâtiments noirs, sordides et lugubres percés comme une caserne de mille fenêtres et dont les hautes façades s’allongent rue Jeanne-d'Arc, devant la raffinerie Say.

(1928)

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Butte-aux-Cailles

La vague rouge

par
J. H. Rosny Ainé

L'homme suivit d'abord la rue de Tolbiac, puis s'engagea par ces voies ténébreuses, bordées de planches, de lattes et de pieux, qui montent vers la Butte-aux-Cailles. Les oiseaux des réverbères dansaient dans leurs cages de verre. On apercevait des terrains fauves, des chaînes de bosselures, des rampes de lueurs, des phares dans un trou du ciel, et, du côté de la Butte, un nuage de feu pâle évaporé sur Paris...

(1910)

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Le quartier de la Gare

Monsieur Lecoq

par
Émile Gaboriau

Le 20 février 18.., un dimanche, qui se trouvait être le dimanche gras, sur les onze heures du soir, une ronde d’agents du service de la sûreté sortait du poste de police de l’ancienne barrière d’Italie.
La mission de cette ronde était d’explorer ce vaste quartier qui s’étend de la route de Fontainebleau à la Seine, depuis les boulevards extérieurs jusqu’aux fortifications.
Ces parages déserts avaient alors la fâcheuse réputation qu’ont aujourd’hui les carrières d’Amérique.

(1869)

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Butte-aux-Cailles

Le trésor caché

par
Charles Derennes

Depuis toujours on habitait, mon père et moi, sur la Butte-aux-Cailles ; encore aujourd'hui, ce quartier-là n'est guère pareil à tous les autres. Mais si vous l'aviez vu du temps que je vous parle ! Des cahutes s'accrochaient à la butte comme des boutons au nez d'un galeux ; ça grouillait de gosses et de chiens, de poux et de puces...

(1907)

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La prairie de la Glacière

Sans Famille

par
Hector Malot

C’est un quartier peu connu des Parisiens que celui qui se trouve entre la Maison-Blanche et la Glacière ; on sait vaguement qu’il y a quelque part par là une petite vallée, mais comme la rivière qui l’arrose est la Bièvre, on dit et l’on croit que cette vallée est un des endroits les plus sales et les plus tristes de la banlieue de Paris. Il n’en est rien cependant, et l’endroit vaut mieux que sa réputation.

(1878)

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 Le faiseur de momies - 2e partie - chap. 10 (suite)

DEUXIÈME PARTIE

Sur la piste

X
Comment Frisquet retrouva la piste et ce qui s’en suivit
(suite)

Précédemment

Mais il réfléchit aussitôt qu'il ne pouvait pas rester là, car l'attente pouvait se prolonger fort longtemps, jusqu'à la nuit peut-être, et si la présence du chien risquait de passer inaperçue, la sienne serait remarquée immédiatement et compromettrait tout le reste.

Il chercha donc un poste d'observation d'où il pût tout voir sans être vu lui-même. Ce poste, il le trouva dans un autre débit de vins situé au commencement du passage, de la salle basse duquel il pouvait surveiller tout ce qui se déroulait dans un rayon de dix mètres devant lui.

Du reste, il n'eut pas besoin de faire provision de patience, car le hasard, ce dieu des policiers, se chargea bientôt de lui venir en aide.

Il venait à peine de se faire servir son amer citron qu'il vit ceci, à travers le rideau d'un blanc sale du misérable estaminet :

Sur le balcon de bois qui courait tout le long du premier étage du cabaret des « Aminches », un homme parut après avoir exploré d'un regard rapide le passage des deux côtés, et s'être ainsi assuré qu'il n'y découvrait rien de suspect, il se mit en devoir de descendre l'escalier extérieur menant à la rue.

C'était un individu de grande taille, dont la figure s'encadrait d'une longue et épaisse barbe rouge rejoignant des cheveux de la même couleur. Il était coiffé d'un melon défraichi et serré étroitement dans un pardessus gris-noir décoloré, dont le bord s'élimait.

En prenant contact avec le pavé, il jeta un dernier regard méfiant derrière lui, et voyant que le passage était désert, s'éloigna rapidement dans la direction opposée à celle par où était venu l'agent Bardet. Quant au chien, il ne le remarqua même pas. D'ailleurs l'eût-il vu, comment aurait-il pu se méfier de cet honnête barbet en train de dormir béatement du sommeil du juste aux rayons bienfaisants du chaud soleil printanier ?

En quoi il aurait eu tort, et ceci prouve la vérité de cet adage qu'il ne faut jamais se fier aux apparences. En effet, à peine eut-il le dos tourné que l'honnête barbet, qui ne dormait que d'un œil, se réveilla subitement, s’étira et se mit à trotter à distance sur ses traces, suivi de près par le compagnon maçon en qui s'était incarné l'agent Bardet.

Le malheureux n'avait eu que le temps d'avaler d'un seul trait son apéritif, au risque de s'étrangler et au grand ébahissement de la tenancière du débit.

Celle-ci, en effet, ne put jamais arriver à comprendre pourquoi son client était soudain si pressé et se sauvait toutes jambes, comme s'il avait eu le feu au derrière, sauf révérence parler…

Mais le brave agent ne songeait guère à donner des explications à la bonne femme. Ce qui le préoccupait pour le moment, c'était de s'expliquer à lui-même par quelle fantaisie imprévue Frisquet le lançait aux trousses de ce grand diable roux…

Cet homme ne paraissait, au premier abord, avoir aucun rapport avec la piste qu'il était en train de suivre.

Il ne devait pas tarder à apprendre au contraire qu'un étroit rapport unissait les deux personnages.

La sortie du passage Moret sur la rue des Cordelières

Au sortir du passage, l'homme avait tourné à droite, pour rencontrer la rue des Cordelières, dans la direction du boulevard Arago. Vers le milieu de la rue, il s'arrêta, comme pour lire une affiche, mais en réalité pour regarder furtivement derrière lui s'il n'était pas suivi. Il eut beau embrasser la rue d'un bout à l'autre, d'un seul coup d'œil, il n'y vit rien qui pût lui causer le moindre soupçon. Il ne distingua même pas ce compagnon maçon qui, sans qu'il s'en doutât, s'attachait si obstinément à ses trousses.

En effet, le précautionneux Bardet, avant de tourner, lui aussi, le coin du passage, s'était dissimulé derrière l'angle de la dernière maison, d'où l'œil le plus perçant eût eu de la peine à voir dépasser le bout de son nez. Seul, le bon Frisquet flânait au milieu de la chaussée de son air le plus inoffensif.

Complètement rassuré et certain à présent de ne pas être suivi, l'homme rouge s'engagea sur le boulevard Arago, et s'arrêta bientôt devant un débit de tabac, où l'agent Bardet, qui avait remonté la rue au pas de course le vit pénétrer.

À travers la vitre, il put apercevoir sa figure tandis qu'il se faisait débiter quatre sous de tabac et un cahier de papier à cigarettes. Alors, ce fut dans son esprit un trait de lumière. Il passa vivement sur le trottoir opposé du boulevard, après avoir lancé un regard d'admiration au bon Frisquet, qui attendait à la porte du bureau de tabac, gravement assis sur son train de derrière.

L’homme rouge n'était autre que le garçon de salle de l'Académie.

Boulevard Arago à la hauteur du débouché de la rue des Cordelières

Après avoir roulé sa cigarette qu'il allumait au gaz de l'appareil automatique du bureau de tabac, il sortit et remonta tranquillement le boulevard Arago jusqu'à l'avenue des Gobelins qu'il traversa pour continuer sa route sur le boulevard Saint-Marcel.

Il parcourut encore à peu près deux cents mètres en plongeant à l’intérieur des petits restaurants, fort nombreux dans ces parages populeux, un regard d'amateur.

D'un groupe à l'autre, des blagues s’échangeaient, auxquelles répondaient les éclats de rire des midinettes.

Sur le comptoir d'un bar, la file interminable des tasses de café économique s'alignait ; les tournées succédaient aux tournées avec une rapidité qui tenait du prodige.

Enfin l'homme parut avoir trouvé ce qu'il cherchait.

C'était un débit de marchand de vin, presque vide, où de nombreuses serviettes, roulées dans leurs ronds et entassées dans un casier, témoignaient éloquemment d'un commerce bien achalandé.

Un moment, l'homme, tenté par ce beau soleil, hésita s'il resterait à la terrasse mais il y vit sans doute un inconvénient, car il entra et alla s'asseoir à une petite table de marbre blanc, au fond de la salle, où flottait encore dans l'air la fumée grise des pipes et des cigarettes.

L'agent Bardet, qui le suivait de près sous sa détroque de compagnon maçon, et dont l'estomac aussi criait famine, se demanda s'il n'allait pas en faire autant et entrer à son tour. La tentation était vraiment forte, mais il réfléchit qu'il y aurait là de sa part une imprudence capable de tout perdre. Laissant donc celui qu’il avait filé jusqu'à présent avec tant de succès à la garde de Frisquet, roulé en boule sur le trottoir, il avisa à quelques mètres de là un autre restaurant, sur la devanture duquel se lisait, en lettres jaunes, cette inscription :

À la réunion des cochers.

L'enseigne n'était pas menteuse, car devant le trottoir se rangeaient à la file cinq ou six fiacres dont les automédons étaient en train de prendre à l'intérieur de l'estaminet leur café arrosé de nombreux pousse-café, tout en faisant des parties de manille.

Ce spectacle fit germer dans l'esprit inventif de l'agent Bardet une idée de génie. Il s'agissait bien de manger à présent Il songerait à cela tout à l'heure s'il en avait le temps. Pour le moment, il fallait agir.

Ce ne fut pas long.

Il alla droit à l'un des cochers qui ne jouait pas, mais suivait la partie avec un intérêt passionné en fumant sa pipe.

Et lui frappant sur l'épaule :

— Pardon, mon brave, j'aurais deux mots à vous dire.

L'autre regarda, interloqué, ce compagnon maçon qui ne se présentait guère sous les apparences d'un client, et-lui demanda d'un ton soupçonneux :

— Qu'est-ce que vous me voulez ?... Je ne vous connais pas, moi.

— Prenons toujours une tournée... Ça n'engage à rien, et je vais vous dire ce que j'attends de vous… C'est moi qui régale.

L'argument était sans doute irrésistible, car le cocher s'y rendit et les deux hommes allèrent s'asseoir, dans un autre coin de la salle

Suite



Le faiseur de momies (2e partie)

Dans le chapitre 7

  • Où M. Ducroc chef de la sûreté, emprunte l'avenue de ma Sœur Rosalie pour rejoindre la ruelle des Reculettes.

Dans le chapitre 10

  • Où l'agent Bardet et le chien Frisquet remontent la rue Croulebarbe et la ruelle des Gobelins
  • Où l'agent Bardet, quittant l'ile aux Singes par la rue des Cordelières, suit sa piste jusqu'au boulevard Saint-Marcel.
  • Où l'agent Bardet se transforme en cocher de fiacre.

Dans le chapitre 19

  • Où Sébastien Blanc parcourt la rue Croulebarbe pour se rendre dans le cabaret de la ruelle des Gobelins.

Dans le chapitre 21

  • Où le promeneur qui remonte le boulevard Auguste-Blanqui dans la direction de la place d'Italie, est frappé par l'aspect pittoresque d'une vieille maison.

Le 13e en littérature

De la ruelle des Reculettes au passage Moret via la ruelle des Gobelins

Le faiseur de momies

par
Georges Spitzmuller et Armand Le Gay

Il était arrivé à l'angle pointu formé par la manufacture des Gobelins où la voie bifurquait ; à droite la rue Croulebarbe continuait, à gauche c'était la ruelle des Gobelins.

(1912)

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La Butte-aux-Cailles

Coeur d'enfant

par
Charles de Vitis

— Voyons d’abord du côté de la Butte-aux-Cailles, pour tâcher de trouver un logement.
Jacques connaissait l’endroit pour y être venu avec Fifine, une fois ou deux, du temps qu’il vivait chez ses parents.
C’était un quartier misérable situé à proximité de la place et du boulevard d’Italie ; on y arrivait par la rue du Moulin-des-Prés.

(1899)

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La cité Doré

Coeur d'enfant

par
Charles de Vitis

À la hauteur de la place Pinel et de l’abattoir, entre le boulevard de la Gare et le boulevard de l’Hôpital, s'étend un vaste terrain qui est loué par bail à divers locataires. Le type même de la saleté et de la misère imprévoyante se trouve dans le rassemblement de masures, coupé de ruelles en zigzag et qu’un hasard ironique fait appeler cité Doré. Les cours des miracles devaient être ainsi.

(1899)

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Rue du Banquier

Madame Gil-Blas

par
Paul Féval

Le fiacre tournait court l'angle de la rue du Banquier.
Cela s'appelle une rue, mais c'est en réalité une manière de chemin pratiqué entre des murs de jardins. Il n'y a pas une âme en plein jour.

(1856)

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Barrière des Deux-Moulins

Les Chifffonniers de Paris

par
Turpin de Sansay

En suivant les rues Saint-Victor, du Marché-aux-Chevaux et de Campo-Formio, on arrivait à la barrière des Deux-Moulins, située de l'autre côté du boulevard extérieur.

(1861)

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Barrière des Deux-Moulins

Causerie d'un camarade

par
Jean Loyseau

Allez un dimanche, ou , même , un lundi soir , du côté de l'ancienne barrière des Deux-Moulins : regardez, respirez et écoutez, si vous en êtes capables , tout ce qui frappe à la porte de vos cinq sens : votre odorat percevra je ne sais quelle odeur nauséabonde et méphitique, dans laquelle se mêlent indistinctement la fumée de tabac ; les exhalaisons du cabaret, qui forment , à elles seules, tout un arsenal d'infection...

(1862)

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La Butte aux-Cailles

Les Loups de Paris

par
Jules Lermina

Il est sur la rive gauche de la Seine, au-delà de la rue Mouffetard et de la Montagne-Sainte-Geneviève, un lieu étrange, sauvage...

(1877)

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Saviez-vous que... ?

Le 7 juillet 1878, vers onze heures et demie, le sieur L..., charretier, route de Châtillon, altéré par la chaleur, était entré pour prendre un verre de vin, dans un cabaret, rue de l’Espérance, près la rue de la Butte-aux-Cailles (13e arrondissement). Quand il en sortit, après s’être rafraîchi, il ne retrouva plus son tombereau attelé de deux forts chevaux percherons.
Un audacieux roulotter l’avait emmené se permettait de conclure le quotidien Le Droit.

*
*     *

Alfred Léon Gérault, dit Gérault-Richard, né à Bonnétable (Sarthe) le 11 octobre 1860 et mort à Fréjus (Var) le 7 décembre 1911, journaliste et homme politique socialiste, fut élu député du XIIIème arrondissement en janvier 1895. Il fut battu aux élections de 1898, mais fut réélu deux fois (1902-1906 et 1906-1911) en Guadeloupe, dans des conditions qui ne laissent aucun doute sur leur illégalité.

*
*     *

La surface du 13è arrondissement est exactement de 714,6 hectares.

*
*     *

Avant le percement de l’avenue des Gobelins, l’adresse de la célèbre manufacture était le 254 rue Mouffetard, Paris, 12eme arrondissement.

L'image du jour

Place Pinel

La place Pinel s'appela abord la place de Deux-Moulins et constitua un lieu majeur car elle débouchait sur la barrière d'Ivry. De l'autre côté de la barrière, la ville se prolongeait et se développait le long de la rue Nationale, qui s'arrêtait alors à son croisement avec la rue du Chateau-des-Rentiers et attirait commerces et petites industries. Sur la place, s'ouvrait également la cité Doré.

© paris-treizieme.fr pour la transcription du texte

HISTOIRE DES QUARTIERS

  • La Salpêtrière
  • La Gare
  • Maison Blanche
  • Croulebarbe

ACCES PAR NOM

  • Nomenclature des rues
  • Liste des auteurs

LES DRAMES DU 13e

  • Le drame de la rue Albert
  • Le drame de la rue de l'Espérance
  • Le drame de la rue Vandrezanne
  • Le drame du quartier de la Gare
  • Un drame du terme
  • Tous les drames...

LE TREIZIÈME AVANT LE 13e

  • Le Petit-Gentilly (1820)
  • De la difficulté d’être le treizième arrondissement
  • La bergère d'Ivry (1827)
  • L'abattoir de Villejuif (1812)
  • Sommaire complet

LE TREIZIÈME EN 1860

  • Notice administrative, historique et municipale sur le XIIIe Arrondissement par Ph. Doré fils

ACCÈS THÉMATIQUES

  • L'aménagement du 13e
  • Les grandes voies du 13e
  • La petite ceinture dans le 13e
  • Le Métropolitain dans le 13e
  • Les tramways dans le 13e
  • La gare d'Austerlitz
  • Le puits artésien de la Butte-aux-Cailles
  • La place d'Italie
  • La cité Doré
  • La cité Jeanne d'Arc
  • Le passage Moret
  • L'asile Nicolas-Flamel
  • Les hôpitaux de la Pitié et de la Salpêtrière
  • Les fouilles archéologiques dans le 13e
  • Le Siège de Paris (1870-71)
  • Le 13e sous la Commune
  • La catastrophe de la rue de Tolbiac (20 oct. 1915)
  • Le jardin des Gobelins
  • La manufacture des Gobelins
  • La "Folie Neubourg"
  • Le marché aux chevaux
  • Les grandes eaux du boulevard Kellermann
  • Ateliers, fabriques et petits métiers du XIIIe
  • Chiffons et chiffonniers
  • Bals de Paris, bals de barrière, cabarets, bouges et assommoirs
  • L'épidémie de la Maison-Blanche (1890)
  • Les étrangleurs des Gobelins
  • Sur les communes limitrophes
  • La zone dans le 13e

VIDÉOS

  • Auguste Lançon et le 13e
  • Marville, la rue de Tolbiac
  • Quai de la Gare, janvier 1910
  • La place Nationale
  • Le marché aux chevaux

L'image du jour


Le feuilleton


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